PROJET SANTE
l y a deux types de médecines : l’une d’elle est une médecine pro-santé qui propose les enseignements de la sagesse médicale multimillénaire formant le patrimoine de l’humanité et dont on trouve les éléments fondamentaux dans les médecines ancestrales chinoise, tibétaine, aztèque, maya, inca, toltèque, arabe, ayurvédique, japonaise, celte, polynésienne, huichol, hunza, senoï, aborigène… pour n’en citer que quelques-unes !
L’autre correspond aux modes et aux idées élaborées à chaque époque par des médecins et thérapeutes qui ont perdu de vue les lois universelles de la vie et se contentent de lutter contre les symptômes des maladies sans enseigner à leurs patients l’art de vivre en bonne santé.
Ils pratiquent une médecine anti-maladie plutôt qu’une médecine pro-santé.
Hélas, aujourd’hui, après près de deux siècles de médecine scientifique, le bilan n’est pas brillant. Les grandes maladies infectieuses ont régressé dans les pays riches non à cause des progrès médicaux mais grâce à une meilleure hygiène. Elles n’ont pas fait place à la santé mais au fléau sans cesse grandissant des maladies de civilisation qui font des habitants des pays occidentaux des assistés permanents de la médecine, des gens qui, dès l’âge adulte, ne peuvent vivre sans vaccins, pilules, prothèses et opérations de toutes sortes.
Le développement de la science s’est accompagné d’une pollution croissante non seulement de l’air, de l’eau et de la terre mais aussi de nos corps et nous payons aujourd’hui un lourd tribut au manque de conscience écologique de notre civilisation.
Nos systèmes immunitaires, sollicités au-delà de leurs capacités normales, s’effondrent et les maladies de civilisation se multiplient d’une façon si alarmante que certains parlent de “génocide planétaire médico-pharmaceutique”.
Pourtant il ne s’agit pas de renoncer aux outils utiles de la technologie médicale moderne mais de les utiliser dans une perspective globale qui prend en compte la totalité de l’être humain.
C’est la médecine holistique qui s’occupe des corps physique, émotionnel, mental et spirituel.
Elle éduque les patients à se prendre en charge pour gérer eux-mêmes leur santé.
L’image de la santé est celle d’un cheval qui galope avec ses quatre pattes.
La médecine matérialiste moderne ne s’occupe que d’une patte du cheval, celle du corps physique, d’où son incapacité à mener les peuples de la terre vers une santé globale.
Lorsque nous apprenons à veiller à nos différents corps et à nous relier au corps spirituel qui, lui, n’est jamais malade, nous nous délivrons des idées limitées de la science newtonienne et darwinienne qui est encore la norme des universités, nous reprenons contact avec les lois universelles du cosmos.
Nous comprenons alors que la maladie n’est pas une malédiction qui s’abat sur nous sans raison mais un effort du corps pour se guérir.
Dans cette optique virus et bactéries ne sont pas des ennemis à tuer à coup de médicaments chimiques mais des alliés utiles pour soutenir l’organisme dans ses efforts de dépollution.
Hippocrate disait déjà il y a plus de deux mille ans : « Toutes les maladies sont la conséquence de nos habitudes de vie »
Par conséquent, prendre des traitements sans changer les habitudes de vie qui sont à l’origine de la maladie est un non-sens, une aberration totale !
La maladie doit nous pousser à une prise de conscience pour sortir des mécanismes anti-vie qui nous ont rendu malades et apprendre à gérer intelligemment notre santé sur tous les plans.
L’éducation de santé est donc une priorité capitale pour nous et pour nos enfants.
Tel est le but de ce projet santé qui souhaite une collaboration interdisciplinaire et tous ceux qui ont à cœur d’œuvrer pour la santé de tous.
Dans la complémentarité de toutes les approches, le respect des découvertes de la science (la vraie, pas le « scientisme » des multinationales qui ne visent que leur profit et n’ont aucun intérêt à diffuser des informations menant vers la santé des populations !) et la compréhension que seule une voie holistique peut donner du sens à toutes nos actions.